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Et si la nature n’était pas quelque chose d’extérieur, mais une part de nous-mêmes ?
Dans ce monde ultra-connecté, bétonné, numérisé, nous avons peu à peu perdu le lien avec notre véritable essence : le vivant.
Je vous partage ici un article profond, libre et vibrant, sur notre lien à la nature, à notre corps, à nos énergies, à notre souveraineté intérieure.
Un texte à lire comme une promenade lente, une reconnexion simple et puissante à ce que nous avons toujours été.
Des écureuils en lunettes de soleil ? Des arbres à Doliprane ? Des poissons sous probiotiques ?
Non. Et c’est bien là tout le message.
Prenez un moment. Inspirez. Et entrez dans cette lecture comme on entre dans une forêt. ๐ณ๐
๐ Bonne lecture de « La Nature ».
๐ฟ La Nature
La nature est l’ensemble de ce qui existe sans intervention humaine : les montagnes, les forêts, les océans, les animaux, les minéraux, les végétaux… Elle est notre berceau, notre mère, notre lien le plus ancien avec le vivant. ๐
Mais aujourd’hui, une question se pose : avons-nous oublié ce qu’est réellement la nature ?
Est-ce qu’on y trouve des arbres à Doliprane ? ๐ณ๐
Des champs de chips goût barbecue ou des plantes qui poussent en emballages plastique ?
Des rivières de Coca-Cola, des sources de Red Bull, ou des rochers en chewing-gum ? ๐ฅค๐ฌ
Prenons un exemple simple et puissant : le gorille ๐ฆ.
Cet animal majestueux, près de 300 kilos de muscles, d’endurance et de puissance brute, ne se nourrit que de plantes, de feuilles, de fleurs, de racines. ๐ฟ๐ช
Il ne lui viendrait jamais à l’esprit d’aller chercher des côtes de bœuf, des merguez, ou une chipolata grillée. Il sait instinctivement où se trouvent ses besoins, il fait confiance à la nature.
Et pourtant, il a toute la force, tous les nutriments, toutes les protéines, toutes les vitamines et tous les minéraux dont il a besoin.
Il est la preuve vivante que la nature contient tout.
Tout est là, à portée de main.
As-tu déjà croisé dans la forêt un écureuil portant des lunettes de soleil ? ๐๐ฟ๏ธ
Un renard en baskets à semelles en caoutchouc pour "s’isoler de la terre" ? ๐ฆ๐
Une marmotte en polaire synthétique ?
Un cerf qui s’enduit de crème solaire avant de sortir du bois ? ๐ฆ
โ๏ธ๐งดDes oiseaux avec des écouteurs antibruit ? ๐ฆ๐ง
Des sangliers qui se tartinent d’anti-rides, ou des poissons qui prennent des probiotiques ?
Non. Parce qu’en nature, tout est fluide, naturel, intégré.
Les animaux vivent connectés à leur milieu, nus, ancrés, adaptés. Et pourtant, ils sont résistants, agiles, enracinés dans leur environnement. ๐พ๐ฒ๐พ
La nature ne fabrique pas de boîtes de nuggets, de yaourts colorés, ou de canettes light.
Elle ne connaît pas les E322, E471, E621.
Ce qu’elle offre, c’est du miel brut, de l’argile pure, des plantes médicinales, des racines, des graines, de l’eau vivante. ๐๐ชจ๐ฏ
En nous éloignant de ce lien vital, nous avons créé un monde d’artifices où l’on ne touche plus la terre, où l’on a peur du soleil, du vent, de la pluie.
Pourtant, aucun vêtement technique ne remplace la protection naturelle de notre peau, aucun complément ne remplace la vitalité d’un fruit mûr, et aucun filtre ne remplace le silence profond d’une forêt.
Protéger la nature, c’est aussi se réconcilier avec ce que nous sommes profondément : des êtres vivants parmi d’autres, capables d’écouter, de sentir, de s’adapter.
Ce n’est pas un retour en arrière, c’est un retour au réel, au bon sens, au vivant. ๐
Nous oublions aussi que nous ne sommes pas que chair et os.
Nous sommes des êtres énergétiques, électromagnétiques, bioélectriques.
Comme toutes les formes de vie, notre corps produit de l’électricité. Chaque battement de cœur, chaque impulsion nerveuse est un courant, un signal. โก
Notre peau, nos cellules, notre cerveau vibrent et interagissent avec les champs naturels qui nous entourent.
La terre elle-même émet des fréquences, des charges, des rythmes.
Dans la nature, cette énergie circule librement. Mais dans nos vies modernes, nous avons rompu ce lien fondamental.
En portant des semelles en caoutchouc, en marchant sur du béton, en dormant dans des lits surélevés, entourés d’ondes artificielles, nous avons isolé notre corps du sol . ๐โก๐
Nous sommes comme des piles : un pôle positif, un pôle négatif.
Pour que l’énergie circule, il faut un contact, un échange, une mise à la terre.
Or aujourd’hui, cette boucle est coupée. Résultat : tensions, inflammations, stress, troubles nerveux.
L’énergie stagne, au lieu de circuler et de se libérer dans le sol. ๐๐
Revenir au contact de la terre, c’est permettre à notre corps de se réguler naturellement.
C’est rétablir le courant.
Prendre conscience de qui nous sommes, de ce qui nous entoure, des énergies qui circulent en nous et autour de nous, est une belle avancée vers la liberté intérieure. ๐
Nous ne sommes pas de simples corps animés ; nous sommes des êtres de perception, de vibration, de résonance.
Et nous avons une force immense : le discernement. ๐ง ๐ซ
Chaque jour, nous avons le choix.
Le choix d’écouter notre intuition, notre bon sens, notre ressenti.
Le choix de poser un regard lucide sur le monde, au lieu de subir des flux d'informations incessants, formatés, orientés.
Car il faut le dire : la majorité des sources médiatiques ou institutionnelles ne sont pas là pour éveiller, mais pour maintenir.
Maintenir dans la peur, dans l’angoisse, dans l’indécision, dans la confusion.
Ces messages, répétés en boucle, abaissent nos fréquences vibratoires. ๐๐
Ils nous éloignent de notre souveraineté intérieure, de notre lien avec la terre, avec le vivant, avec nous-mêmes.
En alimentant la peur, le doute, la division, on affaiblit notre champ énergétique, on coupe notre ancrage, on occulte notre pouvoir personnel.
C’est en écoutant, en observant, en ressentant, au-delà du bruit, que l’on retrouve notre libre arbitre. ๐งโ๏ธ๐ฑ
La conscience n’est pas un luxe, c’est une clé.
Elle ouvre les portes d’un rapport juste à soi, aux autres, et au monde.
"Les petits fleuves font les grandes rivières."
Cette citation, je l’offre comme une graine ๐พ.
Une semence de conscience que, je l’espère, votre subconscient saura accueillir.
Elle germera à son rythme, silencieusement, dans un coin de votre être.
Car c’est ainsi que naît le changement : par de petits élans, des prises de conscience discrètes mais puissantes, des choix apparemment anodins qui, mis bout à bout, forment un courant, une rivière, un fleuve de lucidité.
Retrouver son équilibre corps-esprit, ce n’est pas une révolution du jour au lendemain.
C’est une succession de petits pas, de gestes simples et répétés, qui, à force d’être posés, changent notre rapport à nous-mêmes. ๐ฃ๐งโ๏ธ
Cela commence parfois par un verre d’eau en plus, par une meilleure écoute de sa soif, par l’envie de se nourrir avec des aliments qui viennent réellement de la terre, sans emballage, sans étiquette compliquée. ๐๐ง๐ฑ
C’est peut-être aussi réduire certaines médications, là où c’est possible, sous accompagnement éclairé, en redonnant au corps le droit d’auto-guérison.
C’est diminuer le temps passé devant les écrans, laisser les yeux se reposer, s’ouvrir à la lumière naturelle, aux rayons du soleil du matin, qui nourrissent la vue et l’esprit. โ๏ธ๐๏ธ
C’est retirer ses lunettes quand elles ne sont pas nécessaires, pour reconnecter avec le monde tel qu’il est, flou parfois, mais vivant.
C’est marcher pieds nus, sentir l’herbe, la terre, la rosée… même quelques minutes par jour. Ce contact direct nourrit notre énergie, réharmonise notre bioélectricité. ๐ฆถ๐
Et puis, surtout, c’est changer de regard : comprendre que le vivant n’a aucun défaut.
Que vous êtes une œuvre d’une complexité et d’une beauté stupéfiante.
Rien à corriger.
๐ฟ Alors... et maintenant ?
Tu n’as rien à attendre d’extérieur à toi.
La nature est déjà là, et ta propre nature aussi.
Tout ce que tu es venu chercher — la paix, l’équilibre, la clarté, la joie — vit déjà en toi, en sommeil parfois, mais jamais éteint.
Chaque petit geste, chaque prise de conscience, chaque retour à l’essentiel est une graine que tu plantes.
Et ces graines font des racines, puis des fleurs, puis des fruits. ๐๐ธ๐
Rappelle-toi : tu es vivant.
Tu es énergie, matière, vibration, intelligence.
Tu es magnifique, exactement comme tu es.
Alors commence là, aujourd’hui, maintenant.
Un pas, une respiration, une gorgée d’eau, un sourire au soleil.
Et laisse faire la rivière.
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