Meir Schneider est un miracle vivant. Il est né en 1954 à Lviv en Ukraine. A sa naissance, ses parents découvrent que leur bébé tant désiré est presque aveugle à cause d’une maladie congénitale. Dans les années qui suivent, il subit une vraie boucherie : pas moins de cinq opérations chirurgicales à la rétine – toutes ratées. Il en gardera des cicatrices terribles, des glaucomes, des cataractes, un strabisme et un nystagmus (des mouvements saccadés involontaires de l’œil).  Les médecins l’abandonnent alors dans cette situation dramatique. Il fait donc sa scolarité en braille, Mais au fond de lui, il garde le désir insensé de voir un jour… Juste avant son 17ème anniversaire, il fait une rencontre qui va bouleverser sa vie. En rentrant du lycée, un vagabond l’aborde… ils entament la conversation. Le vagabond prend Meir en sympathie. Il lui révèle l’existence d’un livre pour améliorer la vue naturellement. C’est ainsi que Meir entend parler pour la première fois de la « rééducation visuelle ».  Il se lance alors à corps perdu dans cette méthode : jusqu’à 13h par jour ! Il persévère en dépit des moqueries de son entourage et des ricanements des médecins. Au bout de six mois, le miracle se produit : Meir voit des formes pour la première fois de sa vie ! Au bout de dix-huit mois, il lit des lettres sur une feuille de papier à 10 cm de son visage.    Aujourd’hui, Meir Schneider a 70% de vision. Il a obtenu son permis de conduire en Californie. Il tient à San Francisco une école qui enseigne la rééducation visuelle. Ses principes sont repris un peu partout dans le monde. C’est un phénomène aux Etats-Unis, en Australie, au Japon. Des articles à son sujet sont parus dans le grand quotidien américain, The New York Times.  Qui peut le plus peut le moins, dit le proverbe. Cette méthode a marché pour un aveugle. A plus forte raison, elle peut aider toutes les personnes qui ont des problèmes de vue.    Le danger de porter des lunettes et des lentilles Tout petit déjà vous avez été formaté : « on porte des lunettes quand la vue baisse ». Personne ne discute. Peut-être avez-vous même fait des tests de vue à l'école. Et un matin, des camarades - vous-même peut-être - sont arrivés affublés de lunettes dont ils avaient un peu honte. On nous disait que c’était normal de porter des lunettes. Pourtant elles nous mettaient mal à l’aise, elles nous complexaient : pas pratique pour le sport ou les jeux, sans compter la peur de se faire gronder si on les cassait...  En réalité les lunettes abîment nos yeux. Même dans des cas extrêmes, il n’est pas seulement inesthétique, mais également nuisible de porter des lunettes. Voici pourquoi :  Porter des lunettes à vie, c’est comme si on vous mettait un plâtre à vie sous prétexte qu’une fois, vous vous êtes cassé la jambe. C’est ne pas tenir compte des capacités d’auto-guérison du corps en général, et de l’œil en particulier.  Savez-vous ce qui se passerait si on vous mettait un plâtre trop longtemps ? Votre jambe finirait par s’étioler, vos os par se désagréger. Au bout d’un certain temps, c’est sûr, vous ne pourriez plus vous en passer du tout, car votre jambe serait détruite.  C’est exactement ce qui se passe quand on porte des lunettes trop souvent. C’est la raison pour laquelle on doit régulièrement s’en faire faire de plus puissantes. Votre forme physique varie au fil de la journée, de la semaine ou des saisons. Cela vaut pour vos yeux aussi : vous voyez mieux à certains moments, ou dans certaines circonstances. Des études rigoureuses sur des milliers de personnes appuient cette simple constatation – hélas rarement mise en avant. Le gros problème des verres correcteurs est qu’ils fournissent une solution fixe à votre vision qui change constamment. Ils enferment la vue dans un carcan, sans aucune considération pour la vie naturelle de vos yeux. Porter des lunettes empêche donc vos yeux de fonctionner naturellement. Elles bloquent les plus petits mouvements de l’œil quand le regard cherche à se placer à travers les verres. Le résultat le plus fréquent, c’est qu’il faut régulièrement retourner chez l’ophtalmo pour obtenir une ordonnance pour des verres plus forts. Les ophtalmologues connaissent les dangers des verres correcteurs (lunettes ou lentilles) et ils sont donc de plus en plus nombreux à orienter leurs patients vers le laser. Mais savez-vous ce que cela implique, exactement ??  Les risques insensés du laser Les opérations au laser consistent à découper une partie de l’œil avec un laser. C’est une opération qui nécessite une extrême précision sans quoi… c’est la catastrophe. Les conséquences peuvent être terribles. Ce n’est pas moi qui le dis. C’est l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament français !  Des patients se retrouvent ainsi avec :  des tissus sains à jamais détruits  la formation d’un brouillard sur la cornée  une infection ou guérison retardée  des effets de halo sur la partie de la cornée non traitée  la perte ou le dommage du volet cornéen (le tissu protecteur de l’œil)  une sécheresse oculaire sévère  une erreur de sur- ou sous-correction  des cicatrices causant de grands inconforts au patient  une possible cécité (être aveugle) nocturne, avec à la clé, la perte du permis de conduire.  L’opération est malgré tout mise en avant par certains chirurgiens pour qui la chirurgie réfractive au laser est une poule aux œufs d’or. Les patients poussent aussi à la consommation. Ils ignorent en effet les risques et désirent tellement être enfin débarrassés de leurs lunettes.  Mais c’est parce qu’ils ignorent qu’il existe une méthode naturelle qu’il faut absolument essayer avant de prendre le moindre risque de ce type.  Une méthode vieille de 100 ans longtemps oubliée… puis redécouverte par un adolescent Il y a environ 100 ans, un médecin de New-York appelé Dr William Bates, constata que nos yeux - plus précisément nos muscles oculaires - ont besoin d’exercice régulier pour rester détendus, performants et en bonne santé. Tout comme un sportif de haut niveau doit assouplir ses muscles régulièrement pour réaliser des performances en compétition. Le Dr Bates était un ophtalmologiste de haut niveau. Il se mit à enseigner sa méthode révolutionnaire à ses patients. Et ce qui n’était qu’une pratique réservée à ses patients devint rapidement un phénomène de société…Les confrères du Dr Bates comprirent vite la menace qui pesait sur leur profession - et sur leurs affaires. A force de pression, ils obtinrent des autorités de New York l’interdiction des méthodes naturelles de rééducation visuelle. L’interdiction est toujours en vigueur à New York.  Vos yeux ne doivent pas être une affaire de gros sous Il est vrai qu’il y a beaucoup d’argent en jeu dans ce secteur. L’industrie des lunettes repose sur un vaste système de consultations, d’examens, d’opérations, d’ordonnances, et de lunettes, les verres et les montures…Tout cela représente des dizaines de milliards. La société Essilor, cotée au CAC 40, pèse à elle seule 25 milliards d’euros !!! Les opticiens nous vendent des montures hors de prix, qui font exploser les frais de mutuelle. En 2010 cinq grands producteurs de verres ont été lourdement sanctionnés en Allemagne : ils s’étaient entendus secrètement pour augmenter leurs prix, au détriment des consommateurs.  Depuis 2000, ces entreprises et leurs distributeurs ont encaissé d’immenses profits : et c’est vous et moi qui avons payé.  En France, d’après un syndicat professionnel d’opticiens, les fabricants de lunettes ont raflé près de 5,85 milliards € de chiffre d’affaire sur les douze mois de 2014. Ajoutez les honoraires chez les ophtalmologistes libéraux et les cliniques privées (1 milliard € en 2015), plus les opérations de chirurgie laser (non remboursées). On arrive à plus de 7 milliards € par an.  Chaque année, les chiffres augmentent, et certains sont prêts à tout pour bloquer l’information qui risquerait de mettre à mal cet immense gâteau. En effet, si seulement une fraction du grand public avait accès à la rééducation visuelle, de façon préventive ou curative, ce marché s’effondrerait comme un château de cartes. Une nouvelle dimension dans la vie Imaginez une vie sans lunette, ni lentilles de contact. Vous n’avez plus besoin de vous coller tous les matins ces morceaux de plastique sur la rétine, avec tous les risques d’infection – et les toxines dans le plastique. Vous voyagez plus léger, sans cette énorme trousse de toilette pour trimbaler son bidon de liquide à lentilles. Vous échappez à toute nécessité de subir l’opération de la cornée au laser. Vous ne vous emmêlez plus avec les cordons de vos deux paires de lunettes autour du cou. Vous pouvez prendre le volant la nuit en toute tranquillité.  Ce parcours ne nécessite ni médicament, gélule ou pastille. Le parcours  est tout simple et surtout : il donne une vie nouvelle à vos yeux. Votre objectif est de récupérer une vue de qualité :  vous voyez sans effort de près comme de loin  vous restaurez la mobilité de votre vision  vous vous rapprochez de la perfection naturelle de la vue  vous reconnaissez à nouveau les gens dans la rue  vous profitez des détails d’un paysage  vous retrouvez un regard transparent, naturel.  Cela paraît étonnant, mais avec des exercices et les aliments recommandés, vous pouvez améliorer votre vue de façon durable. Jour après jour, vous allez constater les améliorations de votre vue, la diminution de votre fatigue oculaire. C’est même votre regard sur la vie qui va changer.  « Obligatoire » à partir de 12 ans Lisez ceci attentivement si vous avez des enfants ou petits-enfants qui portent des lunettes : Savez-vous qu’une épidémie sans précédent frappe la jeunesse de nos pays ? En France, le taux de myopes atteint environ 30 % des jeunes de 16 à 24 ans, selon les chiffres du Syndicat national des ophtalmologistes de France (SNOF). C’est encore pire en Asie. Une étude parue dans The Lancet révèle que près de 90 % des jeunes en fin de parcours scolaire dans les zones urbaines des pays développés d'Asie (Chine, Singapour, Taïwan, Hongkong, Japon, Corée) sont myopes (contre 25 à 40 % chez les générations précédentes), dont 10 à 20 % sont touchés par une forte myopie.  L’hygiène visuelle devrait faire partie intégrante de l’éducation des enfants à la santé, aussi facilement que l’hygiène bucco-dentaire.  Tous les parents du monde crient dans la maison chaque matin au moment où les enfants partent à l’école : « n’oubliez pas de vous brosser les dents !». Ils devraient ajouter avec autant d’insistance : « et n’oubliez pas de vous brosser les yeux ! ».  La rééducation visuelle fonctionne exceptionnellement bien sur les enfants. Elle produit des effets indéniables à tout âge, mais c’est surtout sur les enfants que les progrès sont les plus rapides.  Vous connaîtrez aussi le coupable de cette épidémie de myopie, celui qui démolit les yeux de vos enfants. Ses effets sont les plus graves à partir de 12 ans, quand les enfants se mettent à pousser comme des haricots. Qui veut gagner des dioptries ? La technique vous apprend pourquoi éviter les lunettes de soleil comme la peste… Quel est le rapport entre votre taille de chaussures et vos yeux… Le scandale derrière les liquides pour lentilles de contact… les bienfaits du grand air pour les enfants (et pas seulement pour avoir la paix dans la maison)… quelle source lumineuse convient à vos yeux, et quelles sont celles à éviter absolument. Vous pourrez vous tester pour savoir si vous êtes aussi atteint du SVO, le Syndrome de Vision par Ordinateur.  Un myope n’ayant pas forcément les mêmes besoins qu’un presbyte…un astigmate ne devant surtout pas suivre le même programme qu’un hypermétrope… vous devez savoir :   pourquoi les verres et les lentilles abîment votre vue, et comment vous pouvez vous en débarrasser pour de bon ; les habitudes de vie qui nuisent à la santé de vos yeux - et celles qui la favorisent ;  pourquoi les enfants ne devraient quasiment JAMAIS porter de lunettes (seuls 1 ou 2 % des enfants devraient porter des lunettes, contre 30 % actuellement) ;  Mais le savoir ne suffit pas : la formation théorique ne peut être un succès que si vous la mettez en pratique ! Dans quel cas avoir recours à la rééducation visuelle ? Le principe du parcours consiste à assouplir les muscles de vos yeux pour qu’ils retrouvent leur capacité de s’adapter sans lunettes aux besoins de votre vue. Il vous sera utile :  si vous souffrez de fatigue oculaire, de tension, de mal au cou et aux épaules  si vous êtes myope, hypermétrope ou presbyte  si on vous a dit que vous êtes astigmate  si vous venez de vous rendre compte que vous ne voyez plus aussi bien qu’avant, et que vous craignez que ça empire  si vous envisagez une opération au laser, et que cela vous inquiète  si vous avez déjà été opéré et que votre médecin envisage déjà une nouvelle opération  si vous en avez assez de dépenser tellement pour des lunettes  si vous désirez voir clair de nouveau et lire sans lunettes…  L’idéal est de commencer la rééducation visuelle le plus tôt possible.  D’abord en prévention, pour prendre soin de vos yeux quand ils sont encore jeunes. Mais aussi si vous avez du mal à bouger les yeux.  Chaque instant que vous passez avec des verres correcteurs vous rapproche du jour où vous ne verrez plus rien.  Mais les dégâts causés à vos yeux sont très souvent réversibles. La rééducation visuelle est efficace même sur les cas les plus graves, comme le prouve l’expérience de Meir Schneider.  Mais le travail pour inverser la tendance sera d’autant plus important que vos yeux auront développé une accoutumance aux verres correcteurs. Connaître et utiliser la rééducation visuelle vous permettra donc de réserver les verres correcteurs ou la chirurgie pour le jour où vous n’aurez vraiment pas d’autre solution. Le but principal consiste à détendre les yeux et à rendre aux muscles oculaires la liberté dont des verres correcteurs les privent.  pourquoi vos yeux sont faits pour voir à toutes distances  comment être correctement suivi par votre ophtalmologiste  comment travailler efficacement devant un ordinateur  Quelle alimentation pour accompagner Constituent les points sur lesquels doit être focalisé la rééducation visuelle pour la mener avec succès. Les mauvais aliments pour vos yeux Une bonne alimentation est importante pour garder une bonne vue. Mais pour garder une bonne vue, ou ne pas aggraver un vieillissement oculaire déjà entamé, il est aussi très important de ne pas trop consommer certains aliments. Des études montrent que les aliments riches en oméga-6 comme le tournesol, certaines céréales, certaines viandes, ainsi que les produits industriels sont mauvais pour la vue. Les mauvaises graisses comme la charcuterie et les aliments frits sont aussi à éviter. En effet, les acides gras saturés qu’ils contiennent sont mauvais pour les micro-vaisseaux sanguins qui irriguent les tissus des yeux. Il est essentiel de posséder une bonne vision et de la garder au fil des années. Pour ce faire, les yeux doivent être entretenus, un peu à la manière des sportifs, c’est-à-dire que les yeux doivent bénéficier d’une hygiène de vie saine (ce qui est vital pour notre santé). Il devient parfois nécessaire pour certaines personnes, qui subissent ce que l’on appelle une dégénérescence maculaire (donc des troubles de la vue) de porter des lunettes de vue adaptées à leurs besoins, et souvent même des lunettes de soleil en parallèle. Ce qui importe donc, c’est de donner une bonne hygiène à nos yeux, et les aliments ont leur part d’utilité dans la bonne vision. En définitive, manger équilibré, manger des fruits, des légumes, des agrumes, contribue au maintien d’une bonne vision. Il ne faut pas oublier que dans la mesure du possible, les compléments alimentaires ne doivent pas être une solution de facilité : il est nécessaire de consulter un naturophate pour avoir de plus amples informations.

Le bain de bouche à l'huile est une méthode simple, mais incroyablement efficace pour nettoyer le sang. Il est utile pour de nombreux troubles, comprenant les maladies du sang, les troubles pulmonaires et hépatiques, les maladies des dents et des gencives, les maux de tête, les maladies de la peau, les ulcères gastriques, les problèmes intestinaux, le manque d'appétit, les maladies cardiaques et rénaux, l'encéphalite, les troubles nerveux, les troubles de la mémoire, les troubles féminins, le visage gonflé et les poches sous les yeux. Pour pratiquer ce soin, vous avez besoin d'huile non raffiné extraite par pression, de tournesol, de sésame, ou d'olive. Dans la matinée, de préférence après le réveil ou à tout moment avant le petit-déjeuner, mettre une à deux cuillères à soupe d'huile dans votre bouche, mais ne pas l’avaler. Faire tourner doucement l'huile dans votre bouche, la mâcher, et la faire passer à travers vos dents pendant 3 à 4 minutes. Ce mouvement mélange intimement l'huile avec la salive et active les enzymes libérées. Les enzymes attirent les toxines du sang. C'est pour cette raison qu'il est important de cracher l'huile après 3 à 4 minutes maximum, de façon à ce que les toxines libérées ne soient pas réabsorbées. L'huile, on se saturant de toxines et de milliards de bactéries nocives, prends une couleur d'un blanc laiteux ou jaunâtre. Pour de meilleurs résultats, répétez ce processus deux fois de plus. (Si cela libère trop de toxines et vous vous sentez mal à l'aise, ne le faites qu'une seule fois. ) Ensuite, rincer la bouche avec une demi-cuillère à café de bicarbonate de soude ou de sel marin non raffiné (prenez l'un des deux dissous dans une petite quantité d'eau). Cette solution permet d'éliminer tous les restes d'huile et de toxines. En outre, vous pouvez vous brosser les dents pour vous assurer que votre bouche soit propre. Le raclement de la langue est également conseillé. Certains des effets visibles des bains de douche à l'huile comprennent l'élimination des saignements des gencives et le blanchiment des dents. Pendant les périodes de maladie, cette procédure peut être répétée trois fois par jour, mais seulement sur un estomac vide. Le bain de bouche à l'huile soulage grandement et soutient les fonctions du foie, car il élimine des toxines du sang que le foie ne parvient pas à supprimer ou à détoxifier. Cela bénéficie à l'ensemble de l'organisme.

En moyenne, chaque personne ne consomme environ qu'un seul litre de liquide par jour et la
plupart sous forme de café, et boisson sans alcool qui le plus souvent volent quasiment de l'eau
à l'organisme. Pour atteindre ce niveau minimum, il faut aussi prendre en compte la quantité
d'eau contenue dans l'alimentation solide. l'eau dont le corps a besoin provient parfois
effectivement de l'eau qu'on boit, mais il s'agit probablement d'eau qui n'est bonne, ni du point
de vue qualitatif, ni du point de vue quantitatif. 10 % des personnes interrogées au cours d'un
sondage réalisé par le Centre d'information sur la nutrition, on déclaré qu'elles ne buvaient
jamais d'eau.
Pour être en bonne santé et avoir le poids idéal, vous avez besoin de beaucoup plus d'eau et
de bonne qualité, un adulte moyen perd environ 2,5 à 3 l d'eau par jour en transpirant, en
respirant, en urinant, en bougeant, voir en dormant, et le corps se déshydrate si l'eau n'est pas
remplacéé. Si vous ne consommez pas assez d'eau, vous grossissez,c'est mathématiques!
Tout d'abord, même une légère déshydratation ralentit le métabolisme de 3 %, deuxièmement,
nous reconnaissons si mal les signaux de la soif que nous envoie notre organisme que nous
avons tendance à les interpréter comme les affres de la faim.
Ce qui veut dire que si nous nous ne buvons pas assez, nous mangeons trop. Troisièmement,
si nous ne consommons pas assez d'eau, notre corps en retiendra!!!! nous éprouverons alors
une sensation de gonflement et de gêne, et nous seront même plus gros que ce que nous
sommes réellement! un corps acide pousse l'eau dans les tissus pour tenter de neutraliser les
acides qui s'y trouvent.
Surtout, l'organisme utilise l'eau pour neutraliser les acides, pour en diluer l'excès et les
éliminer( avec toutes les toxines) du corps grâce à l'urine et à la transpiration, et par les
intestins. s'il n'a pas assez d'eau, votre corps devient trop acide et passe en mode préservation
en produisant du tissu gras, il suffit d'une minuscule quantité, égale à seulement 2 % de liquide
corporel en moins, pour que cela se produise. Si vous pensez que cela ne peut pas vous
arriver, songer qu'il n'est pas rare de perdre 2 % de liquide corporel durant une heure d'activité
physique moyenne. Si cela ne vous pousse pas à boire autant que nécessaire, et en plus
d’accumuler de la graisse,ne pas consommer d'eau vous procurera aussi mal être et fatigue. En
effet, l'absence d'eau est la première cause de la sensation de fatigue durant la journée. Sans
assez d'eau, vous n'aurez pas assez d'énergie, vous vous sentirez fatigué et faible. Cette
baisse de liquide de 2 % dans l'organisme peut s'exprimer par une diminution importante de vos
performances. L'acide qui s'accumule dans vos tissus quand vous ne buvez pas assez d'eau,
agit comme un marteau qui attendrit la viande en rendant vos muscles flasque et faible. Des
études montrent qu'une perte d'eau de 3 % provoque non seulement une perte de 10 % de la
force musculaire, de 8 % au niveau de la rapidité, mais réduit aussi la résistance musculaire. Si
vous perdez 4 % d'eau corporel, vous éprouveriez de la confusion et votre capacité d'assumer
une fonction physique baisserait de 30 %. En perdant un autre point de pourcentage, vous
auriez des problèmes de concentration, souffririez de somnolence, d'impatience et de migraine (
l'un des signes de déshydratation les plus courants avec la peau sèche ) .Une baisse
supplémentaire du liquide corporel de 1 % pourrait pousser votre cœur à accélérer et vous
pourriez perdre le contrôle de la régulation de la température corporelle. Une baisse de 7 %, et
vous pourriez vous évanouir. Même au tout début, la déshydratation peut déboucher sur de la
confusion mentale, des problèmes de mémoire à court terme, des difficultés à faire des calculs
simples et à s'exprimer verbalement, des difficultés à se concentrer devant un ordinateur ou un
texte écrit. Vertige, mains et pieds froids peuvent apparaître. La liste continue, anxiété,
irritabilité, dépression, forte envie de sucré et crampes. En ce qui concerne le mal-être qui en
résulte, quand la déshydratation devient plus importante, les symptômes qui se présentent sont
reflux gastro-œsophagien, douleur aux articulations et au dos, migraine, fibromyalgie,
constipation, colite et angine, asthme, allergie, diabète, hypertension et problème
dermatologique comme l'eczéma, les boutons, les tâches et l'acné sont liés à une grave
déshydratation. Les états dégénératifs, y compris l'obésité pathologique, les maladies
cardiaques et le cancer, sont tous liés à une grave déshydratation de longue date. Si vous
perdiez 15 à 20 % de vos liquides corporels, vous pourriez mettre immédiatement votre vie en
péril. En résumé, l'absence d'eau peut vous tuer. En effet, si on peut passer environ 30 jours
sans manger, on ne peut pas tenir 72 heures sans eau, l'organisme utilise la même quantité
d'eau qu'il fasse froid ou chaud, que l'on dorme ou que l'on soit réveillé. Au cours d'une journée
normale, même sans conditions extrêmes liées à l'activité physique ou à l'environnement(
comme un climat trop chaud/ou sec) et sans perte particulière de liquide dans votre organisme
on peut perdre 1 % des liquides corporels. Même si les symptômes les plus inquiétants
susmentionnés ne dérivent pas du fait de passer une heure ou un jour avec de faible niveau
d'eau dans notre réservoir de nombreuses personnes vivent un état chronique de légère
déshydratation pendant une grande partie de leur vie. Il n'est donc pas étonnant que tant de
gens soient gros fatigués et souffrant.
La déshydratation
Le corps humain est composé de 75 % d'eau et de 25 % de matière solide. Nous avons besoin
d'eau pour l'alimenter, éliminer les déchets, et lui permettre de mener des milliards d'activités.
Cependant, la plupart des sociétés modernes ne soulignent plus l'importance de l'eau potable
en tant que « nutriment » le plus essentiel. Nombreuses sont les personnes qui remplacent
l'eau par du thé, du café, de l'alcool et autres boissons industrielles. Beaucoup de gens ne
réalisent pas que la soif est le signal naturel du corps quand il a besoin d'eau pure. Ils
choisissent d'autres boissons à la place, convaincus qu'elles satisfont le besoin en eau de
l'organisme. Ceci est une fausse croyance. il est vrai que le thé, le café, le vin, la bière, les
sodas, les boissons pour sportif et les jus contiennent de l'eau, mais ils contiennent aussi de la
caféine, de l'alcool, du sucre, des édulcorants artificiels ou autres produits chimiques qui sont
de puissants agents déshydratants. Plus vous en consommez, plus votre corps se déshydrate,
car les effets qu'il produisents sur le corps sont exactement à l'opposé de ce produit par l'eau.
Les boissons qui contiennent de la caféine par exemple, déclenche des réactions de stress qui,
au départ, ont des effets diurétiques importants conduisant à l'augmentation d'urine. Les
boissons qui contiennent du sucre ajouté augmentent considérablement le taux de sucre dans
le sang. Toute boisson qui provoque de telles réactions, contraint l’organisme à se défaire de
grandes quantités d'eau. La consommation régulière de telles boissons engendre une
déshydratation chronique, qui joue un rôle dans toute crise de toxicité. Il n'existe aucune raison
pratique ou rationnelle de traiter une maladie (crise de toxicité) avec des médicaments
synthétiques, ni même avec des méthodes ou médicament naturel, à moins que le besoin
d'hydratation du corps n'ait déjà été satisfait. les médicaments et autres formes d'intervention
médicale peuvent être dangereux pour la physiologie humaine, principalement à cause de leur
effets hautement déshydratants. La plupart des patients aujourd'hui souffrent de la « maladie de
la soif » , un état progressif de déshydratation. Certaines parties du corps peuvent être plus
déshydratées que d'autres. Dans l'incapacité d'éliminer les toxines de ses parties, en raison de
réserve insuffisante en eau, le corps est confronté aux conséquences de leur effet destructeur
(toxémie). Très souvent, c'est parce que les aspects les plus fondamentaux du métabolisme de
l'eau dans le corps ne sont pas reconnus qu'un appel urgent du corps pour de l'eau est «
diagnostiqué » comme étant une maladie. Ce que les médecins nomment en général «
maladie», n’est bien souvent qu'un état avancé de déshydratation, et l'incapacité de l'organisme
à se débarrasser des déchets et des toxines qui en résulte.
Reconnaître la déshydratation
Les personnes qui ont longtemps vécu sans un apport d'eau adéquate sont les plus
susceptibles d'être victimes de l'accumulation de toxines dans le corps. La maladie chronique
s'accompagne toujours de déshydratation, et dans bien des cas, elle en est la conséquence.
Plus longtemps une personne boira peu d'eau et /où consommera une quantité élevée de
boissons ou d'aliments stimulants, plus grave et durable sera la crise de toxicité. Les maladies
cardiaques, l'obésité, le diabète, la polyarthrite rhumatoïde, les ulcères d'estomac,
l'hypertension, le cancer, la sclérose en plaques, la maladie d'Alzheimer et de nombreuses
autres formes chroniques de maladie sont précédés par des années de sécheresse du corps.
La déshydratation n'est pas forcément évidente à reconnaître pour la personne atteinte. Elle
remarquera peut-être qu'elle commence en effet à faire de la rétention d'eau dans les jambes,
les pieds, les bras et le visage. Ses reins commenceront peut-être aussi à retenir de l'eau,
réduisant nettement la sécrétion urinaire et provoquant la rétention de déchets potentiellement
nocifs.
Si votre corps produit une douleur continue sans raison apparente (non causé par une blessure)
avant de tirer toutes sortes de conclusion, interprétez- la comme un cri du corps réclamant de
l'eau et cherchant à pallier un état de déséquilibre.
« La sécheresse du corps » le plus fort des stress
le cerveau humain, qui est en activité permanente, nécessite plus d'eau que tout autre partie du
corps. Habituellement, le cerveau contient environ 20 % de la totalité du sang qui circule à
travers le corps. On estime que les cellules du cerveau se composent de 85% d'eau. leurs
besoins énergétiques sont couverts en métabolisant le glucose ((sucre simple) , mais aussi en
produisant de l'énergie « hydroélectrique » à partir du déplacement d'eau engendré par un
processus d'osmose cellulaire. Le cerveau dépend en grande partie de cette source d'énergie
cellulaire pour maintenir ses activités complexes et son efficacité. Le manque d'eau dans le
tissu cérébral réduit l'approvisionnement énergétique du cerveau, et exerce ainsi un impact
négatif sur un bon nombre de ses fonctions vitales, une situation que la plupart des gens
nomment « dépression ». avec un niveau d'énergie dans le cerveau plus bas que la normale,
vous êtes incapable de relever vos défis physiques, personnel et sociaux, et succombé alors à
la peur, l'anxiété, la colère et autres tourments émotionnels. Vous vous sentez vidé, léthargique,
stressé et déprimé. Le syndrome de fatigue chronique (SFC), par exemple, est
principalement un symptôme de déshydratation progressive du cerveau, qui résulte de
l'incapacité à éliminer naturellement tous les déchets métaboliques et débris cellulaire du
cerveau et d'autres parties vitales du corps. Ce que les personnes souffrant du syndrome de
fatigue chronique appelle avoir le cerveau embrumé, est en réalité une description précise de la
congestion qui se produit dans celui-ci. Le SFC n'est pas une maladie vicieuse qui s'attaque à
une personne sans raison apparente. Il peut disparaître spontanément lorsque la personne
atteinte cesse de stimuler son cerveau avec des substances telles que la caféine, le tabac, les
médicaments et les produits d'origine animale, et en entreprenant un programme cohérent de
nettoyage, d'hydratation et d'alimentation.
Rétention d'eau et lésion rénales
Le système rénine-angiotensine ( RA) s'active à chaque fois que le corps est en manque
d'eau. Ce système, brillamment conçu, sert à amener l'organisme à retenir de l'eau partout où
c'est possible. Il ordonne aux reins d'inhiber la miction, et refaire les capillaires et le système
vasculaire, en particulier dans les zones qui n'ont pas une importance aussi vitale que le
cerveau et les muscles cardiaques. En même temps, il stimule une augmentation de
l'absorption de sodium (sel), qui aide le corps à retenir l'eau. À moins que le corps ne retrouve
son niveau d'hydratation normal, le système RA reste activé. Cela signifie aussi que la pression
du sang contre les parois des vaisseaux sanguins reste anormalement élevée, ce qui provoque
des dégâts connus sous le nom de « maladie cardiovasculaire: l'hypertension et la rétention
d'urine dans les reins peuvent provoquer des lésions rénales. Les traitements conventionnels
pour soigner cet état consiste essentiellement on l'a prise de diurétique (formant de l'urine) et
une consommation réduite en sel. Les deux peuvent avoir des conséquences graves. Les
diurétiques, utilisés pour normaliser la pression sanguine et réduire la consommation de sel,
entrave fortement les mesures d'urgence mises en place par l'organisme pour sauver le peu
d'eau qui lui reste pour les activités cellulaires normales. La réponse de stress qui en résulte
accentue davantage la déshydratation, générant un cercle vicieux. Bon nombre de greffes
rénales effectuées aujourd'hui sont le résultat de déshydratation chronique, causé par le simple
fait de ne pas boire assez d'eau, de consommer de l'alcool, de manger des aliments riches en
protéines animales, ou de stimuler le système nerveux de manière excessive.
Pour conclure quelques faits à retenir
On estime que 75 % des Américains souffrent de déshydratation chronique.
Chez 37 % des Américains , le mécanisme de la soif est si faible qui se confond avec celui de la
faim. Selon une étude menée à l'Université de Washington, quasiment 100 % des participants,
candidats au régime, ont réussi à se débarrasser de leurs fringales nocturnes en ne buvant
qu'un verre d'eau . Une déshydratation légère ralentira votre métabolisme de 3 %. Ne pas boire
suffisamment d'eau est la première cause de fatigue diurne. D'après les recherches, boire 8 à
10 verres d'eau par jour pourraient soulager considérablement les douleurs articulaires et le
dos chez environ 80 % des personnes qui en souffrent. Une baisse de seulement 2 % d'eau
dans le corps peut déclencher une sensation de flou, des troubles de la mémoire à court terme,
et des difficultés de calcul et de concentration sur un écran d'ordinateur ou une page imprimée.